Ramazan Noyan Culum,
Un homme d'affaire turc, en vacances
à Chypre il y a cinq ans, est tombé amoureux de Courtney Murray, une jeune
serveuse britannique et lui a proposé le mariage ...
Malgré son insistance, la belle
anglaise a toujours refusé. Elle rentre donc en Grande-Bretagne, en
oubliant son amoureux turc. Quatre ans passent et, par la biais de
Facebook,
Ramazan Noyan Culum
retrouve sa bien-aimée qu'il n'avait jamais oublié. Il se met en tête de
la rencontrer et lui reproposer le mariage ...
Trois mois plus tard, il prend la
mer avec un petit voilier. Il quitte le port de Bodrum pour un voyage de
sept mois. Les conditions climatiques sont une étape qui l'empêcheront de
continuer, l'autre étant qu'il n'avait pas les bons papiers pour accoster en
Italie et en Espagne, et
Ramazan Noyan Culum se
fait arrêter et jeté en prison. Il fait donc grêve de la faim qu'il
commentera sur son blogue ...
Prêt à mourir pour sa cause,
Ramazan Noyan Culum arrive à
destination et est accueilli par la police ! En effet, Courtney n'avait
pas attendu son amoureux turc pour se marier. Mise au courant et effrayée
par ses intentions, la belle anglaise l'avait d'abord averti via son blogue de
ne pas venir. Sa tante est même intervenue : Courtney
est ma nièce. Elle n’a jamais eu et n’aura jamais une relation avec vous. Si
jamais vous venez en Grande-Bretagne et prenez contact avec elle, la police en
sera immédiatement informée. Courtney est mariée et heureuse. Tout ce que vous
faites, c’est vous rendre fou. Vous bouleversez la vie de Courtney et de sa
famille. ”
Croyiez-vous que Ramazan Noyan Culum a
tenu compte de ses remarques ? Il n'a rien voulu savoir ! Il a même
répondu que : “Tu es une fille stupide !! Tu ne comprends même pas encore
pourquoi je viens en Grande-Bretagne. Je vais venir, m’agenouiller devant toi,
embrasser tes mains et te demander en mariage. Tu peux accepter ou m’envoyer en
prison. C’est à toi de décider. ”
C'est pourquoi Ramazan Noyan Culum est
actuellement en prison, en attendant son extradition vers la Turquie, qu'il
n'aurait peut-être jamais dû quitter ... |